La femme en feu, Lisa Barr

La femme en feu

Lisa Barr

Editions de l’Archipel

Quatrième de couverture

Jeune journaliste, June Roth se voit confier la mission de retrouver un tableau volé par les nazis il y a 75 ans de cela. Mais La Femme en feu suscite toutes les convoitises… Un suspense qui a figuré sur la liste des best-sellers du New York Times, et dont les droits cinématographiques ont été achetés par Sharon Stone.

Jeune journaliste ambitieuse, June se voit confier une mission délicate par Dan Mansfield, célèbre reporter d’investigation de Chicago.


Ce dernier a promis à l’un de ses vieux amis de retrouver un tableau volé par les nazis : La Femme en feu, dernière toile du peintre expressionniste allemand Ernst Engel.


En France, Margaux de Laurent, richissime héritière et galeriste de premier plan, a elle aussi ses raisons pour mettre la main sur l’oeuvre, quel qu’en soit le prix.


De la Seconde Guerre mondiale à nos jours, de Chicago à Amsterdam et Berlin, aucun tableau n’aura suscité autant de convoitises, ni fait couler plus de sang…

« Histoire, scandale, sexe, mensonges : un roman qui ne vous laisse pas reprendre votre souffle. » Publishers Weekly

Mon avis

Etats-Unis. Jeune journaliste, June Roth ne parvient pas à rencontrer celui qu’elle considère comme son héros professionnel : Dan Mansfield, reporter d’investigation et directeur de la rédaction du Chicago Chronicle. Aussi, elle force la porte de son bureau. Son CV n’intéresse pas ce dernier alors elle lâche sa carte maîtresse. Mais leur entretien est interrompu par l’actualité : une fusillade. Impressionné par l’attitude de June, ce soir-là, Dan décide de lui confier une mission secrète et dangereuse.

En effet, son ami, Ellis Baum, un créateur de chaussures renommé, lui a demandé de l’aider à retrouver un tableau volé par les nazis : La Femme en feu. C’est la dernière toile peinte par Ernst Engel et elle a un lien indéfectible avec son passé. C’est une quête délicate et à haut risque, mais essentielle, au seuil de sa vie. L’histoire d’Ellis est poignante. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, il n’avait pas huit ans quand Helmuth Geisler, un voleur d’art nazi, a anéanti son existence. Cela fait soixante-quinze ans que la figure arrogante du meurtrier le hante et autant d’années que le visage de La Femme en feu lui manque. Il se sait condamné par la maladie, c’est la raison pour laquelle il sollicite l’appui de son ami. Il m’a énormément émue : en raison de ses souffrances et par sa bonté. Malgré ses terribles épreuves, son humanité embrase ses choix de vie.

France. Margaux de Laurent est, elle aussi, à la recherche de La Femme en feu. Pendant une période, l’œuvre a appartenu à son grand-père. Ce dernier est l’unique être pour qui la jeune femme a eu de l’estime et il est à l’origine de sa passion pour l’art. Ellis connaît la dangerosité de la galeriste. Elle a déjà détruit un membre de sa famille. Il sait qu’elle est sournoise, manipulatrice et prête à tout pour assouvir ses désirs. Ce personnage féminin est démoniaque : elle m’a fait trembler, car son intelligence égale sa méchanceté. June aussi m’a fait frémir de peur ; elle m’a impressionnée par son audace, sa bravoure et son empathie. Les deux femmes recherchent la même chose : l’une pour une cause juste, l’autre par convoitise. Le combat est inégal et terrifiant.

La Femme en feu mêle le roman historique et le suspense. Il comporte de l’émotion et de l’adrénaline. Il m’a autant émue que tenue en apnée. C’est un coup de cœur pour moi.

Je remercie sincèrement Mylène des Éditions de l’Archipel pour ce service presse.

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