Riri, Fifi et Loulou, section Frissons, Fantômes Académie

Riri, Fifi & Loulou

Section Frissons

Fantômes Académie

Unique Héritage Éditions

Quatrième de couverture

Mon avis

Lors de la dernière masse critique jeunesse de Babelio, j’ai postulé à des titres que je pouvais, ensuite, transmettre à ma fille. Je ne lis pas de bandes dessinées, mais le Journal de Mickey, les Picsou, Mickey Parade, etc. ont un pouvoir régressif sur moi que j’aime ressentir. Je pense que j’en lis tous les cinq ans (lorsque l’occasion se présente) et à chaque fois, cela fonctionne. Aussi, j’étais très curieuse de découvrir l’évolution des neveux de Donald, à l’ère des nouvelles technologies.

L’ouvrage comporte deux histoires.

Dans la première, Fantômes Académie, Riri, Fifi et Loulou apprennent qu’ils ont été désignés Ambassadeurs de l’école de Donaldville. Ils sont chargés de représenter leur établissement dans le monde entier. Leur première étape est la prestigieuse école de Gooseberry, en Angleterre. Hélas, à leur arrivée, ils découvrent que la réalité est différente de la brochure. De plus, leur curiosité est attisée par des phénomènes paranormaux. Ancrés dans leur époque, ils ont délaissé le manuel des Castor Junior et l’ont remplacé par des smartphones.

Dans la deuxième partie, La boîte à vengeance, ils sont reçus par l’école Severus, en Italie. Loulou qui ne quitte jamais son portable, est piégé par son addiction. L’outil devient un ennemi. Ses frères parviendront-ils à le libérer d’une emprise vengeresse ?

J’ai, beaucoup, apprécié que la première page indique des éléments vestimentaires et des différences de caractère qui permettent de distinguer chacun des personnages. En effet, il me semble que, quand j’étais enfant, je ne les différenciais pas. Ensuite, j’ai aimé que, même si l’intrigue s’insère dans notre monde moderne, l’essence des personnages ait été conservée. Riri, Fifi et Loulou sont dignes des préceptes des Castor Junior. L’entraide, la réflexion, la débrouillardise, la gentillesse et la politesse imprègnent toujours leurs actes. Enfin, j’ai eu l’impression qu’ils étaient encore plus facétieux : Donald ne semble plus être la cible principale de leurs bêtises.

J’ai passé un très bon moment avec ce livre aux parfums de mon enfance, que je m’empresse de transmettre à ma fille, qui, je suppose, va aimer que les héros soient hyper-connectés. En tant que maman, j’apprécie que les nouvelles technologies aient un objectif pédagogique.

Je remercie sincèrement Babelio et les Éditions Unique Héritage pour cette masse critique.

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