Journal intime d’un chat acariâtre – Le retour
Frédéric Pouhier & Susie Jouffa
First Éditions
Présentation éditeur
Le retour du chat acariâtre dans de nouvelles aventures poilantes !
Dans ce livre à mourir de rire, retrouvez le quotidien d’un chat hors du commun… et pourtant si réaliste !
Après avoir bourlingué de foyer en foyer, Edgar est maintenant bien installé dans la famille Crétin. Mais son petit confort va bientôt être perturbé par l’arrivée d’un… bébé !
« 7 avril
Ça y est, Séverine est de retour à la maison avec le bébé. Je ne suis pas vraiment un froussard mais le bébé me fait un peu peur. C’est la première fois que je vois un humain de cette taille-là. Il est aussi petit que moi mais bien moins mignon. Il est tout rose, sans poils et son langage est des plus primaires. »
Mon avis
Quel plaisir de retrouver Edgar !
Dans cet opus, nous le suivons de son 521ème jour de captivité à son 1052ème jour.
Il n’a pas perdu son mordant. Il faut avouer que ce pauvre petit chat a sa vie bouleversée : un bébé humain dans la maison, un chaton en garde chez lui, un déménagement, des visites chez le vétérinaire, des croquettes Light, etc. Vous seriez de bonne humeur, vous, si on vous infligeait tout cela ?
Malgré tous ces tourments, Edgar ne change pas. Il a gardé tout son panache. Il a toujours un caractère de … chat, il est resté imbu de sa personne, il pense encore que les chats dominent le monde. Son humour est toujours présent. Ses réflexions m’ont fait rire souvent.
Mais Edgar aimerait modifier certaines choses de sa nouvelle vie : le bébé, par exemple. Comment voulez-vous qu’un chat puisse dormir avec un bébé qui pleure toutes les trois heures ? Il aimerait bien que ce nourrisson soit remplacé. D’ailleurs, il pense pouvoir bénéficier de l’aide de son maître. Il l’a entendu dire à Séverine qu’il fallait changer le bébé.😂
Cependant, Edgar, avec son mauvais caractère est attachant. Lorsqu’un chaton est gardé temporairement par la famille, il décide de prendre en charge son éducation. Ben oui, le petit n’a pas encore compris que les humains sont les esclaves des chats et que non ! on ne leur fait pas de câlins lorsqu’ils le demandent !
Dans ce tome, j’ai trouvé que notre ami était particulièrement attendrissant. Contrairement à ce que son côté acariâtre pourrait laisser penser, on ressent qu’il y a un cœur dans cette boule de poils. Même s’il tente de le cacher !
Conclusion
J’ai, une fois de plus, passé un très bon moment avec le Journal d’un chat acariâtre – le retour. J’ai beaucoup ri. Je vais m’empresser d’acheter le tome 3. Les pensées d’Edgar sont une bouffée d’oxygène.
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Retrouvez le tome 1, ici
Journal intime d’un chat acariâtre