Jusqu’à ce que la mort nous unisse
Karine Giebel
Présentation éditeur
La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire et blessé par la vie, l’apprend aujourd’hui à ses dépens : la mort vient de frapper, foudroyant un être cher. Simple accident ? Vincent n’en croit rien : la victime connaissait le parcours comme sa poche. C’est un meurtre. Avec l’aide d’une jeune gendarme, Vincent mène l’enquête, de crevasses en chausse-trapes, déterrant un à un les secrets qui hantent cette vallée. Et Lapaz non plus n’est pas du genre à pardonner…
» Ce livre est un captivant suspense psychologique avec, en toile de fond, les décors majestueux de la montagne. » Jean-Paul Guéry – Le Maine libre
Cet ouvrage a reçu le Prix des lecteurs au festival polar de Cognac
Mon avis
Si je n’avais jamais lu Karine Giebel, je pense que j’aurais été de suite happée par l’ambiance de ce livre. Mais j’ai déjà enchaîné les livres de cette auteure. Aussi, il m’a fallu un peu de temps pour rentrer dans l’histoire. Je me suis ennuyée un peu au début, car ce n’était pas ce à quoi je m’attendais.
J’attendais des coups de force dès le début, des rebondissements, je n’étais pas dans l’état d’esprit pour la lecture de « Jusqu’à ce que la mort nous unisse ». Mais au fil des pages, je me suis laissé prendre par l’histoire. Je me suis attachée à la personnalité de Vincent et de Servane, les personnages principaux. Cependant, j’avais l’impression de lire un roman plaisant. Je ne ressentais pas ce besoin de reprendre ma lecture aussitôt que j’avais un moment de libre. Mais d’un coup, le suspense s’est accéléré et je me suis surprise à lire de plus en plus vite, car je voulais savoir la suite.
Chronique écrite en août 2017